Comment tester la résistance d'un nouveau pantalon de travail ? Pour répondre à cette question, la marque suédoise de produits et vêtements de travail Blakläder a eu une idée un peu folle : suspendre dans les airs une voiture accrochée à son nouveau pantalon 1960, qui fait suite au 1530, suspendu lui même à une grue.

L'objectif est de démontrer la qualité des tissus qui composent ce nouveau venu sur le marché des vêtements de travail : un mélange de coton et de polyamide 6.6. Outre le test de la grue, ce pantalon a également résisté à 250 000 cycles lors du test de Martindale, qui consiste à frotter le tissus de façon mécanique et à forte pression avec de la laine ou du papier de verre.

Le pantalon se décline ainsi en deux versions : le modèle de pantalon de travail 1960 doté du tissu CORDURA® NYCO, offre durabilité et résistance tout en gardant sa souplesse et son confort. S’il est adapté pour toutes les saisons, ce tissu plus fin en tissage canvas pourrait être tout particulièrement apprécié en été.

De son côté, le 1960 CORDURA® DENIM s'adapte à des conditions climatiques plus froide avec son tissus plus épais, style jean. Niveau coupe, les deux versions ont été conçues pour être confortables, fonctionnelles afin de s'adapter notamment aux professionnels sur les chantiers.

Pratique et esthétique

Côté pratique, les artisans pourront emporter leurs outils facilement. En effet, le 1960 dispose de deux poches flottantes plus grandes de 1,5 cm par rapport aux autres modèles, d’une poche additionnelle porte-embouts, et de deux passants à gauche et à droite pour accueillir une boucle porte-outils. D’autres espaces, encore, ont été prévus : porte-stylo, porte-couteau, poche pour le téléphone ou encore pour le badge identifiant.
 

Et le côté look ? Chacune des deux versions du 1960 se décline en deux coloris et on note la présence de plusieurs petits détails mode : un aspect moderne qui suit la tendance baroudeur, une braguette boutons, et de nombreuses coutures apparentes garanties à vie.

« Ce n’est pas parce que ces vêtements sont faits pour être salis et malmenés que l’esthétique doit être laissée de côté », précise le groupe qui affiche un chiffre d'affaires de 5 millions d'euros en 2014.