Une chaire sur l'éco-conception des infrastructures financée par Vinci
Le pôle de recherche et d'enseignement ParisTech a annoncé le lancement de la première chaire sur l'éco-conception des ensembles bâtis et des infrastructures, financée par le groupe Vinci.
Cette chaire, qui associe trois grandes écoles (Mines, Ponts et AgroParisTech), a pour objectif affiché de créer des outils de mesure et des référentiels et de les mettre à la disposition des acteurs de la ville (concepteurs, constructeurs et utilisateurs).
La participation financière de Vinci, dont les filiales serviront de terrain d'expérimentation et accueilleront des chercheurs et des stagiaires s'élèvera à 3 millions d'euros sur 5 ans. La chaire se construit comme un processus collectif et partenarial autour de thèmes scientifiques variés (nanotechnologies, environnement, matériaux, biomédical...) orientés vers la recherche, l'innovation, la formation, l'entrepreneuriat, le financement et la valorisation pour mobiliser tous les acteurs privés capables d'offrir des solutions éco-innovantes.
Interrogé sur le rôle de Vinci, Cyrille van Effenterre, président de ParisTech, qui regroupe 11 grandes écoles françaises, a affirmé qu'il s'agissait d'une « logique de mécénat »dans laquelle l'entreprise « ne peut exiger de retombées directes ». « L'intérêt de l'entreprise est d'orienter les recherches et les formations vers des sujets qui l'intéressent », a-t-il ajouté.
Les travaux de recherche sur l'éco-conception, qui consiste à prendre en compte l'impact sur l'environnement dès la phase de conception d'un bâtiment, d'une infrastructure, d'un quartier ou d'une ville, seront axés sur des outils scientifiques « qui peuvent être mobilisés par l'ensemble de la filière », a-t-il souligné.
Bruno Poulard (source : AFP)
La participation financière de Vinci, dont les filiales serviront de terrain d'expérimentation et accueilleront des chercheurs et des stagiaires s'élèvera à 3 millions d'euros sur 5 ans. La chaire se construit comme un processus collectif et partenarial autour de thèmes scientifiques variés (nanotechnologies, environnement, matériaux, biomédical...) orientés vers la recherche, l'innovation, la formation, l'entrepreneuriat, le financement et la valorisation pour mobiliser tous les acteurs privés capables d'offrir des solutions éco-innovantes.
Interrogé sur le rôle de Vinci, Cyrille van Effenterre, président de ParisTech, qui regroupe 11 grandes écoles françaises, a affirmé qu'il s'agissait d'une « logique de mécénat »dans laquelle l'entreprise « ne peut exiger de retombées directes ». « L'intérêt de l'entreprise est d'orienter les recherches et les formations vers des sujets qui l'intéressent », a-t-il ajouté.
Les travaux de recherche sur l'éco-conception, qui consiste à prendre en compte l'impact sur l'environnement dès la phase de conception d'un bâtiment, d'une infrastructure, d'un quartier ou d'une ville, seront axés sur des outils scientifiques « qui peuvent être mobilisés par l'ensemble de la filière », a-t-il souligné.
Bruno Poulard (source : AFP)
