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Paris-Saclay : les projets des ZAC de Moulon et de l'Ecole Polytechnique en consultation

Publié le 14 mars 2014

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Entre avril et décembre 2014, l'établissement public Paris-Saclay ouvre 6 consultations portant sur les logements étudiants et familiaux, des résidences hôtelières, des commerces et des crèches privées sur les quartiers de Moulon et de l'Ecole polytechnique sur les quartiers de Moulon et de l'Ecole polytechnique.
Paris-Saclay : les projets des ZAC de Moulon et de l'Ecole Polytechnique en consultation - Batiweb

L'EPPS vient de lancer une série de consultation afin d'accompagner les implantations académiques et économiques au sein du campus urbain, dans les deux ZAC. Ces consultations s'inscrivent dans la volonté de créer des quartiers compacts et mixtes, mêlant activités d’enseignement et de recherche, économiques et habitats, et respectant une qualité architecturale et environnementale exigeante.

Dans le quartier de l'Ecole polytechnique seront créés une résidence étudiante privée de 7000 m2, une résidence parahôtelière privée de 4200 m2, une résidence étudiante sociale de 6600 m2 ainsi que 2000 m2 de commerce.

Du côté de Moulon, le projet urbain prévoit la création de plus de 1000 logements sociaux pour les étudiants en deux lots distincts. Il y aura aussi 75 000 m2 de programmes immobiliers, 800 à 1000 logements familiaux, résidence étudiante privée, commerces et services, locaux associatifs et crèche privée.

Vers des PPP

En parallèle, l'EPPS lancera dans plusieurs mois des consultations avec des architectes concernant le projet de groupe scolaire (MOP), le bâtiment d'enseignement mutualisé de l'Ecole polytechnique, le Learning Center et l'incubateur, pépinière et hôtel d'entreprise.

Des partenariats publics-privés sont également envisagés pour les bâtiments d'AgroParis Tech et de l'Inra (64 000 m2) ainsi que le pôle Pharmacie Biologie Chimie et Institut Diversité Ecologique et Evolution du Vivant (81 000 m2).

L'Etablissement public Paris-Saclay (EPPS) et les collectivités locales espère ainsi « éviter la création de zones économiques et universitaires sans vie permanente, et donc sans services. Habitat, activités économiques et scientifiques seront donc réunis au sein de nouveaux quartiers où il fait bon vivre, étudier et travailler. Développés au plus près des centres villes voisins, autour des grandes lignes de transports, ils feront la part belle aux mobilités douces ».

C.T

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