Après plus de cinq années de Recherche et Développement Knauf Insulation met à la disposition des professionnels et des particuliers une laine minérale qui fait appel à un nouveau procédé de liant, ECOSE® Technology. Cette nouvelle technologie permet de transformer des matières à base végétale en un polymère inerte. La nouvelle gamme de laines minérales de Knauf Insulation ne contient pas de formaldéhyde, de phénol et d'acrylique et utilise des matières premières à base végétale et renouvelables qui se substituent aux composants issus de l'industrie pétrolière. Le nom ECOSE® signifie ECOlogical, Sustainable et Environmental.

Ce nouveau procédé qui réduit jusqu'à 70% l'énergie nécessaire à sa fabrication permet de classer la gamme au rang des produits écologiques conçus à partir de matériaux naturels et rapidement renouvelables, puisqu'une laine minérale est composée de sable pour la laine de verre et de roche naturelle pour la laine de roche. La laine de verre de Knauf Insulation contient jusqu'à 60% de verre recyclé provenant principalement du recyclage du verre ménager et de pare-brise de voitures destinées à la casse.

La nouvelle gamme de laines minérales garde ses performances actuelles : incombustibilité (Euroclasse A1, selon EN 13501), propriétés mécaniques, résistance thermique (maintien des valeurs R actuelles), absorption acoustique, haute teneur en verre recyclé, fabrication à partir de ressources renouvelables et abondantes, laines minérales 100% recyclables, haut degré de compression, emballage recyclable et basé sur les propriétés naturelles d'isolation thermique de l'air immobilisé. Elle possède la certification ACERMI (Association pour la Certification des Matériaux Isolants).

De plus, la nouvelle gamme ne vient pas en complément de la gamme actuelle mais se substitue à cette dernière. Une fois les stocks actuels épuisés, elle prendra sa place avec les mêmes codes, les mêmes noms et les mêmes prix que l'ancienne gamme afin de faciliter une implantation en douceur de la nouvelle génération du produit.

Bruno Poulard