Alors que les énergies renouvelables (EnR) connaissent un essor sans précédent à l’échelle mondiale, Voltalia, spécialiste du secteur, a parfaitement su tirer profit de cette situation, comme en témoignent les chiffres de l’entreprise, communiqués le 26 avril dernier.

En effet, le revenu consolidé de la société a atteint 38,7 millions d’euros au premier trimestre 2017, soit 2,1 fois plus qu’à la même période l’année précédente. Sans grande surprise, les ventes d’énergie progressent de +68%, profitant notamment de la dynamique sur le marché sud-américain.

« Les performances que nous affichons ce trimestre démontrent une nouvelle fois la grande qualité de nos actifs et les premiers succès issus de notre effort de relance des activités de service. Je suis fier de nos équipes dont le travail permet d’afficher cette croissance », a déclaré Sébastien Clerc, directeur général de l’entreprise.

Une progression qui ne doit rien au hasard

Voltalia rappelle par ailleurs que le rachat de la société Martifer Solar a également contribué à sa croissance, cette dernière étant très active en Italie, en Espagne et au Portugal. En parallèle, le groupe a notamment remporté un contrat de construction pour une centrale solaire de 5 MW en Tanzanie.

À cela s’ajoute un projet de centrale biomasse en Guyane française, à Cacao, d’une capacité de 5,1 MW. D’ici fin 2019, celle-ci « produira de l’électricité à partir de la combustion de connexes et plaquettes de bois ». D’un autre côté, Voltalia a obtenu le label « Tech 40 » grâce auquel elle a pu entrer dans l’indice EnterNext éponyme et, in extenso, de faire partie des « 40 entreprises Tech innovantes cotées sur Euronext ».

Ne reste plus désormais qu’à confirmer la tendance sur le reste de l’année !

F.C