On n'est pas des « pas beaux »
Les "100.000 professionnels" adhérents à la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim) ont poussé un cri de "colère"
lundi contre les récentes mises en cause sur les pratiques de leur profession.
Dans un communiqué, ils se sont indignés du "tous pourris" qu'ils estiment relayé par "les différents articles ou dossiers qui ont été récemment publiés sur les agents immobiliers et les syndics de copropriété".
lundi contre les récentes mises en cause sur les pratiques de leur profession.
Dans un communiqué, ils se sont indignés du "tous pourris" qu'ils estiment relayé par "les différents articles ou dossiers qui ont été récemment publiés sur les agents immobiliers et les syndics de copropriété".
"Mettre systématiquement en exergue les écarts de quelques-uns pour procéder à des amalgames est inacceptable", dénoncent-ils, estimant que "cela revient à stigmatiser, de façon injuste et aveugle, toute une profession".
Ils accusent "certaines associations de se servir des médias comme d'une tribune" pour "jeter l'opprobre sur tous avec une légèreté scandaleuse".
"C'est une profession toute entière qui souffre et qui est excédée", écrivent-ils.
S'exprimant "au nom de ses 13.000 entreprises adhérentes et de leurs 100.000 collaborateurs", la Fnaim affirme que "l'immense majorité des professionnels est compétente". La Fnaim a imposé son "code d'éthique et de déontologie à tous ses membres" et est intervenue "de façon déterminante" pour que soit adopté un avis du Conseil national de la consommation (CNC) pour améliorer la transparence tarifaire des prestations de syndics, affirment-ils. "Nous l'affirmons sans détours, nous n'avons pas à rougir de nos professions", insistent ces professionnels de l'immobilier.
