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Siniat se préoccupe de la qualité de l'air intérieur

Publié le 28 juin 2012

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Siniat (ex Lafarge Plâtres), sous sa marque PRÉGY, lance un site d’intérêt général qui fait le tour du sujet sociétal de la qualité de l’air intérieur qui règne dans les habitats, bureaux, écoles, crèches…
Siniat se préoccupe de la qualité de l'air intérieur - Batiweb

La pollution de l’air intérieur dans nos maisons, bureaux, écoles, commerces, maisons de retraite, est une réalité aussi factuelle que préoccupante. La dégradation et la généralisation de la mauvaise qualité de l’air que nous respirons dans 80% des espaces clos, ont pris l’ampleur d’une problématique sociétale. Siniat en a fait l’une de ses priorités et s’attache à développer avec l’appui de son Centre de Recherche des solutions innovantes.

Ainsi, le nouveau site www.laqualitedelair.com passe en revue, minutieusement et objectivement, la nature des risques et propose de partager le fruit des recherches initiées par la marque. A l'aide d'une pédagogie inédites qui concernent autant le grand public que les professionnels de la construction (notamment une web-série de 4 épisodes), le site propose un tour d'horizon des matériaux. Des qualités nouvelles de certains produits à usage domestique devront ainsi reconsidérer leur composition, certains équipements, systèmes constructifs et décoratifs auront obligation d’afficher un étiquetage sanitaire et environnemental.

Impacts croissants de la pollution intérieure

Le site permet d’identifier les polluants ennemis des intérieurs. Ces polluants ont 3 origines : biologique, physique et chimique. Leurs nuisances sont multiples et la synergie des mélanges respirés dans l’atmosphère intérieure peut en accroître les effets néfastes : gêne, irritation, infection, allergie, intoxication… Certains, comme les COV (Composés Organiques Volatils) au nombre de plus de 500 que l’on retrouve dans tous les bâtiments, ont des effets encore plus dévastateurs.

Selon le site www.laqualitedelair.com, « nous sommes «victimes passives» de ce qui constitue l’enveloppe des bâtiments qui nous abritent, des équipements et aménagements de nos intérieurs, des produits que nous utilisons, et aussi… un peu de nous- mêmes ». Face aux impacts croissants de la pollution intérieure, nombre d’autorités et d’organismes sanitaires de notre pays étudient, depuis plusieurs années, les sources de pollution de nos maisons et bâtiments et leurs conséquences sur notre santé, à tel point que le législateur en élabore les premières parades.

B.P

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