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Les professions immobilières veulent parler d'une seule voix

Publié le 16 avril 2012

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La Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), l’Union des syndicats de l’immobilier (UNIS) et de nombreuses organisations immobilières viennent de se regrouper au sein de l’Union des Professionnels des Services Immobiliers pour la réforme de la loi Hoguet (UPSI).
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La Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM) et l’Union des syndicats de l’immobilier (UNIS) qui rassemblent plus de 15 000 entreprises, l’Association Plurience qui rassemble les grands opérateurs du secteur que sont Akerys, Billon immobilier, la Bourse de l’immobilier, BNP immobilier, Crédit agricole immobilier, Foncia, Loiselet & Daigremont, Nexity, Oralia, Provicis Immobilier, Sergic, Square habitat, Tagerim et Urbania et les principaux réseaux d’agents immobiliers à savoir, l’Adresse, Century 21, ERA, Guy Hoquet, Laforêt et ORPI, viennent de se regrouper au sein de l’Union des Professionnels des Services Immobiliers. Cette association a pour ambition de poursuivre le travail de fond entrepris par la profession dans le cadre des États Généraux des Professions Immobilières. Elle a pour objet de promouvoir la réforme de la loi Hoguet sur la base des orientations suivantes :

- renforcement des exigences en matière de compétences professionnelles,
- création d’un code de déontologie,
- recherche de solutions alternatives à la voie judiciaire,
- respect des règles professionnelles et de la discipline,
- la création d’un Conseil National des Professions des Services Immobiliers pour concourir au bon exercice des activités et participer à leur régulation.L’UPSI aura, en outre, à approfondir certaines des propositions issues des États Généraux des Professions Immobilières, notamment : élaborer, un code de déontologie (commun à l’ensemble des professionnels) ;
- déterminer la nature de l’aptitude professionnelle exigée de la part des dirigeants, la formation initiale et professionnelle exigée de la part des collaborateurs pour que ceux-ci puissent être habilités par un professionnel à négocier, s’entremettre ou s’engager pour le compte de ce dernier ;
- fixer la nature et la durée des activités susceptibles d’être validées au titre de l’obligation de formation continue et les modalités selon lesquelles le contrôle de la formation continue peut s’opérer ;
- élaborer un référentiel des procédures de contrôle des garants financiers.

B.P

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