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Le contrôle de la pollution des parkings par sensoparc

Publié le 23 avril 2010

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En assurant la commande automatique des différents régimes de ventilation, en fonction de la pollution mesurée de l'atmosphère du parc, les systèmes sensoparc apportent une solution sûre et économique à l'exploitation.
Le contrôle de la pollution des parkings par sensoparc - Batiweb

Tous les systèmes sensoparc assurent un contrôle permanent, en temps réel, de l'atmosphère, sans l'effet retard induit par tout système fonctionnant par aspiration. C'est un avantage déterminant et une garantie d'efficacité. En pratique, un système sensoparc donne les ordres de commande dans le mode automatique. Ils pourront être repris en aval, par un équipement de gestion des ventilations, comme éolparc.

A chaque zone de ventilation doit correspondre une zone indépendante de détection. Régulièrement, dans un parking de forme standard (sans cloisonnement, recoin ou effet de couloir), on prévoit un point de détection par 600 à 1000 m². Une zone de détection supporte 5 détecteurs. Donc, en général, une zone de détection est suffisante pour couvrir la totalité d'un canton.

Dans les parkings privatifs, en général, on se limite à la détection à l'oxyde de carbone (CO) qui est le seul gaz de référence normatif. Toutefois, dans les parkings importants, on assure également souvent la détection des oxydes d'azote (NOx). Cette attitude est justifiée par le fait que les véhicules récents rejettent des gaz pauvres en CO mais qui contiennent toujours des NOx. Par ailleurs, il en est de même pour les véhicules diesel qui occupent une place croissante dans le parc, en France particulièrement.

Plus occasionnellement, sensoparc peut aussi assurer la détection d’hydrogène (véhicules électriques) et de GPL. Au-delà des parkings traditionnels, les systèmes sensoparc apportent également des solutions dans la commande de ventilation de garages, ateliers de réparation, zones de stationnement de véhicules divers (nettoyage - cars - véhicules d'intervention - engins de chantier), aires de livraison ou de taxis...

La ventilation dans les parkings souterrains s'impose :
Le trafic, même dans les parcs privatifs (immeubles de bureaux ou d'habitations) est irrégulier. Il varie selon les heures, les jours, parfois même les saisons. Ventiler en permanence coûte cher, ventiler à heures fixes n'apporte pas une sécurité suffisante.

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