Construction bois : NGE Bâtiment crée la filiale « CEDRA »
Mis à jour le 16 septembre 2025 à 16h58

Le groupe NGE n’en finit plus de créer de nouvelles filiales. Après avoir lancé NGE Paysages, il annonce la création de CEDRA - acronyme de « Constructeurs Engagés Durablement et Responsables pour l’Avenir », mais aussi référence au cèdre, « symbole de force, longévité et de résilience », avance NGE Bâtiment.
Réunir l’ingénierie, la charpente, l’ossature bois et la menuiserie
L’objectif : avoir une filiale dédiée à la construction bois, en réunissant les métiers de l’ingénierie de conception et d’exécution, de la charpente, de l’ossature bois (MOB et FOB), de la construction hors-site, et des menuiseries extérieures et intérieures.
De cette façon, CEDRA ambitionne de pouvoir répondre à tous les besoins et réaliser des ouvrages en bois sur-mesure, qu’il s’agisse de projets de logements, bâtiments publics, tertiaires et industriels.
Quatre entités complémentaires
La filiale regroupe quatre entités complémentaires que sont CEDRA Ingénierie (bureau d’études), Création Bois (construction bois et charpente), Morel Charpente (structures bois sur-mesure), et Menuiserie Cardinal.
Du fait de ses implantations aux quatre coins de la France, la filiale bénéficie d’ores et déjà d’un bon maillage territorial.
« Le lancement de CEDRA marque une étape importante pour NGE Bâtiment. Cette nouvelle filiale incarne pleinement notre engagement en faveur d’une construction plus responsable, en phase avec les attentes des territoires et les enjeux de transition écologique. En réunissant tous les métiers du bois sous une même bannière, nous affirmons notre volonté d’agir concrètement pour un avenir plus durable au service de l’environnement, du climat et des générations à venir », a réagi Alain Tayar, directeur général de NGE Bâtiment et président de CEDRA.
CEDRA vise d’atteindre 60 millions d’euros de chiffre d’affaires d’ici trois ans.
Pour rappel, le groupe NGE compte 24 000 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 4,6 milliards d’euros.
Par Claire Lemonnier