Les dossiers

Cela fait quatre ans que la méthode QSE existe, évaluant l’impact d’une rénovation énergétique sur la performance globale d’un bâtiment (qualité de l’air, confort, énergie). En 2023, PROFEEL tend à la faire évoluer par le lancement d’un nouveau programme. Nommé QUARTET, ce dernier tend à former des opérateurs à la méthode et à mener des expérimentations sur des bâtiments, en particulier de bureaux.

À Belo Horizonte, dans la favela Aglomerado da Serra, une demeure reçoit le titre de « maison de l’année », décernée par le site Archi Daily, dans le cadre de son prix international d’architecture. Une consécration pour son propriétaire comme le collectif d’architecte Levante, qui a conçu le projet.

La qualité de l’air intérieur est la grande préoccupation de ces prochaines années dans le bâtiment. Depuis le 1er janvier 2018, une réglementation spécifique sur l’air intérieur s’impose déjà dans les établissements accueillant les jeunes enfants. Elle sera prochainement étendue à tous les établissements recevant du public (ERP). Pour répondre à ces obligations, TOUPRET propose SANEO®, une gamme d’enduits capables de purifier l’air intérieur en détruisant jusqu’à 100 % des molécules de formaldéhydes. Cette solution est adaptée à tous les chantiers, dans les constructions neuves ou en rénovation.

Atteignez une qualité d'air absolue grâce à l’épurateur NOVABSO ! En complément de la ventilation, il permet d'épurer l'air des espaces occupés.

Le gouvernement avait déjà préparé ses bonnes résolutions pour 2023, avec une série de mesures et de réglementations. Logement, transition énergétique, gestion des déchets, aménagement territorial… Beaucoup d’entre elles concernent le BTP. Le point sur celles présentées par le gouvernement fin décembre.

À l’instar du vivre ensemble, de la convivialité et des espaces généreux, d’autres critères beaucoup plus techniques mais essentiels comme la qualité de l’air intérieur (QAI) impactent les usagers. Le rôle de l’architecte étant primordial, lors de la réalisation d’un projet, les différentes solutions concernant la qualité de l’air intérieur, sont toujours abordées.

Longtemps négligée, la qualité de l’air intérieur a été remise au centre des préoccupations depuis deux ans face aux enjeux de la propagation du virus de la Covid-19 dans les espaces clos. De nombreuses innovations ont vu le jour pour répondre à la demande grandissante d’espaces intérieurs plus sains permettant de préserver le bien-être et la santé de ses occupants, aussi bien dans les logements que dans les espaces publics communs (écoles, lieux de travail, etc.).

Dans une étude menée par Opinion Way, le fabricant Evertree tenait à décrypter la l’importance grandissante de la QAI dans le quotidien des Français. Grandissante est le mot car selon les chiffres, 77 % des Français sont préoccupés par la pollution intérieure, et beaucoup tiennent les matériaux de construction comme responsables.

Début 2021, naissait l’Association Française de Ventilation (AF Ventilation), dont l'objectif est de réunir les diverses professions concernées par la ventilation. Lors d’un Rendez-vous du Mondial du Bâtiment ce vendredi 1er juillet, deux de ses représentants défendaient l’urgence de miser sur la maintenance pour mieux gérer la qualité de l’air intérieur (QAI), en particulier dans le logement. Retour avec Nicolas Blondet, membre et responsable prescription VMI de l’association.

Comme chaque année, Velux publiait ce mois de mai son baromètre sur l’habitat sain. Dans l’édition 2022, le marque de fenêtres de toit place la rénovation comme un levier important de l’amélioration de l’habitat, tant sur le plan énergétique que sanitaire.

D’abord réservé aux logements collectifs neufs et maisons individuelles neuves en bandes, INTAIRIEUR, étendait en mai 2021 le champ de son référentiel à la maison individuelle isolée. L’outil qui permet aux professionnels du secteur et aux futurs acquéreurs de connaître la qualité de l’air intérieur (QAI) se prolonge aux bâtiments tertiaires.

Le 27 avril, France Air organisait un webinaire autour de la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) dans les bâtiments tertiaires et résidentiels. L’occasion de revenir sur les différents polluants que l’on retrouve dans l’air, et les solutions pour les limiter, telles que la ventilation mécanique, mais aussi les purificateurs et les épurateurs d’air. Pour France Air, comme pour Uniclima, ventiler, filtrer, et purifier reste bien le « combo QAI » idéal.

Alors que le soleil dévoile ses premiers rayons, le grand match PAC versus autres solutions de confort d’été reprend. Seeley International défend notamment le rafraîchissement adiabatique. Un tel système serait plus efficace en termes de consommations énergétiques et d’eau, mais aussi plus favorable à la QAI, selon le fabricant.

Ce lundi 11 avril, se déroulait un campus organisé par Ubbink France, marque spécialisée dans l’enveloppe du bâtiment, l'évacuation des fumées et la ventilation. Le thème ? La ventilation face aux enjeux de la QAI et de la RE2020. Deux représentants essaimaient analyses, astuces et solutions pour accompagner les installateurs dans le respect des réglementations sanitaires et environnementales.

En ce début de printemps, Johnson Controls – Hitachi (JCH) révèle des innovations dans l’ère, ou plutôt dans l’air du temps. Parmi elles, on compte la PAC air/air murale airHome 400 et la façade de cassette TwinSense, répondant toutes deux aux enjeux de la qualité de l’air intérieur (QAI).

Comment adapter une installation de purificateur d’air dans un projet de rénovation ou de construction de bâtiment tertiaire ? C’est ce à quoi répond le « panorama des purificateurs d’air dans le tertiaire », publié ce jeudi par le syndicat Uniclima. Au sommaire : exploration des huit solutions adaptées à ce type de bâti et rappel des normes et règles de mise en œuvre pour l’efficacité d’un purificateur en termes de QAI.

Fondé en 2001, l’Observatoire de la Qualité de l'Air Intérieur (OQAI) fêtait ses 20 ans de recherches et de recommandations sur la question de la qualité de l’air intérieur, lors d’un colloque en décembre dernier. De nombreuses tables rondes animées par des experts ont permis de faire le point sur les résultats de moult campagnes de mesures réalisées durant les deux dernières décennies.

Le groupe Aldes, spécialisé dans le génie climatique, tenait une conférence de presse mardi 16 novembre pour revenir sur le marché et ses nouvelles innovations en matière de qualité de l'air intérieur. Le groupe, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 285 millions d'euros en 2020, note que le marché a été très dynamique en 2021, et prévoit « une croissance à deux chiffres ».

Il n’y a pas que les systèmes de ventilation ou de filtration qui sont capables de contribuer à la qualité de l’air intérieur. La lumière aussi joue un rôle important. Lampes UV comme luminaires filtrants : focus sur ces technologies purificatrices d'atmosphère.

L’AQC rapporte que, selon des études de terrain, l’air intérieur peut être cinq à huit fois plus pollué que l’air extérieur durant l’occupation du bâti. L’agence cherche donc à enseigner les bonnes pratiques aux artisans, afin de faire reculer ces risques, notamment à travers deux nouveaux jeux, révélés pour la première fois sur le salon Artibat. Explications.

Syndicat de 86 societés industrielles de la ventilation, filtration et épuration de l’air, climatisation ainsi que la PAC, Uniclima se penche davantage sur la question des purificateurs d’air et de la qualité de l’air intérieur (QAI). Un sujet qui a pris de l’ampleur face à la pandémie et dont le cadre normatif doit s’approfondir. C’est du moins l’avis de Christophe Teissier, président du groupe d’experts « Filtration et épuration pour la qualité d’air » d’Uniclima. Entretien.

A travers une étude consacrée à la qualité de l’air intérieur (QAI), le fabricant de solutions thermique Zehnder a mis à contribution son système de ventilation mécanique contrôlée (VMC) double-flux ComfoAir. Le but ? Vérifier si celui-ci renouvelle plus efficacement l’air face à une simple aération par fenêtre. Les détails.

Pour célébrer leurs 10 ans, les Défis Bâtiment Santé ont organisé le 6 juillet dernier des discussions autour du thème de la qualité de l’air intérieur (QAI). Un sujet porteur de nombreuses thématiques, comme l’ont montré les sessions posters intercalant les échanges. Ces animations ont permis d’évoquer les différents enjeux et actions concrètes dédiées à l’amélioration de cet aspect essentiel pour construire un bâtiment sain.

Près de 40 scientifiques du monde entier ont publié jeudi un texte dans la revue « Science », appelant à mettre en place de nouvelles normes pour améliorer la qualité de l'air intérieur (QAI) des bâtiments afin de lutter contre la propagation des virus et bactéries. Ils incitent notamment à développer de nouveaux systèmes de purification de l'air, et à mettre en place des « certificats de ventilation » pour valoriser les bonnes pratiques.

Sept organisations professionnelles ont lancé ce jour l’Association française de la ventilation, une instance dont la finalité est de remettre la qualité de l’air intérieur (QAI) au cœur du débat. Car si la prise de conscience est enclenchée, le chemin est encore long pour que la QAI soit pleinement intégrée dans la réglementation. Cela passera par un travail collectif et collaboratif pour sensibiliser davantage les ménages à la question, et également par la montée en compétences des artisans. Découvrez les priorités de l’association.

Le printemps amène avec lui quelques désagréments : les allergies. Alors que la population française est confinée chez elle, Tado, entreprise spécialisée dans les thermostats intelligents pour le chauffage et la climatisation, rappelle l’importance d’une bonne qualité de l’air à l’intérieur des logements et explique comment obtenir cette qualité grâce à ses solutions.

Le Baromètre 2019 de l’Habitat Sain a dévoilé son étude en expliquant que 40% des écoles françaises avaient au moins une salle de classe trop confinée. Après avoir effectué une première expérience en 2016 dans une maternelle, le groupe Velux a retenté l’expérience d’une ventilation naturelle qui permettrait de maîtriser efficacement la qualité de l’air intérieur (QAI) tout au long de la journée, dans une école primaire de Saint-Germain-en-Laye (78).

Les 9 et 10 octobre derniers, Velux a organisé à Paris, les Healthy Building Days, l’occasion pour les participants d’échanger autour des enjeux de l’habitat sain. Un nouveau baromètre présentant l’impact des logements et des écoles insalubres sur la santé et la scolarité des enfants a été dévoilé. Il souligne notamment qu’une mauvaise qualité de l’air augmente fortement l’absentéisme scolaire.

A la fois enjeu pour la valeur d'un bâtiment et pour la santé de ses occupants, la qualité de l’air (QAI) est au centre de toutes les attentions. Dans ce contexte, Uniclima publie « Tous acteurs de l’air dans le tertaire », un guide pratique de 24 pages qui présente les substances nocives, expose les risques, et propose des solutions concrètes pour le secteur tertiaire.

Le Synasav révélait en septembre dernier que la qualité de l’air intérieur était encore une notion « un peu abstraite » pour une grande majorité de Français. Une tendance confirmée par une récente étude réalisée par l’Institut Harris Interactive pour le compte du constructeur de maisons individuelles IGC. Les résultats mettent en évidence que 63% des Français considèrent que leur air intérieur est « bon ». Que savent-ils des COV ? Pas grand-chose ! Ils sont même 43% à ne jamais en avoir entendu parler.

Pouvant avoir des répercussions directes sur la santé, la qualité de l'air intérieur intéresse de plus en plus les professionnels de l'habitat. Dans ce registre, l'Association pour la qualité de l'air intérieur (APQAI) a récemment lancé le label IntAIRieur, qui offre un référentiel simple visant à engager les constructeurs sur les questions relatives au bien-être des habitants. Décryptage.
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L’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) a lancé en 2012 une étude unique en France, visant à vérifier la qualité de l’air et le confort dans les bâtiments performants en énergie. Si les résultats indiquent des occupants globalement satisfaits du confort de leur logement, ils montrent aussi une contamination fongique plus importante ainsi qu’une concentration plus élevée de certains polluants.

Pour la première fois en France, une étude exploratoire menée par l'Anses et le CSTB dans le cadre du programme de travail de l'Observatoire de la qualité de l'air intérieur (OQAI) chiffre le coût socio-économique de la pollution de nos logements. Elle permet ainsi d'évaluer le volume annuel des ressources, humaines et financières, dont la société se prive du fait de cette pollution. Ces données serviront ensuite à hiérarchiser les mesures à prendre pour réduire les risques.

Alors que se tenait mardi un colloque sur le sujet, l'OQAI (Observatoire de la qualité de l'air intérieur) annonce le lancement d'une vaste campagne inédite de collecte de données dans les immeubles de bureaux neufs ou réhabilités récemment. Les nouveaux bâtiments performants suscitent en effet de nouvelles inquiétudes quant à leur bonne aération pour le renouvellement de l'air.
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PLUS-PRODUIT : Élimine 99,95% des particules polluantes et des virus à chaque passage d’air Diffusion totale de...
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